Dossier de presse

LE CITOYEN – 1er mai 2016
Myriam Grenier

Amy Lachapelle signe un 30e roman jeunesse en 8 ans

Même si elle n’avait pas envisagé devenir auteure, Amy Lachapelle se destine visiblement pour cette passion. Elle signe son 30e roman en huit ans avec Maléfice.

« J’ai été un peu journaliste après une formation en communications, mais je n’avais jamais eu l’intention d’écrire des romans. Cet univers me semblait inaccessible, se rappelle l’auteure du Témiscamingue.

« Ma sœur aimait mon style d’écriture et m’a encouragée à essayer, elle qui est propriétaire des Éditions Z’ailées. J’ai participé à la formation de cette maison et on a eu un coup de cœur pour la littérature jeunesse. Ce public de lecteurs est généreux. Je ne ferme pas la porte à un roman adulte un jour,  mais j’adore écrire pour les jeunes, souligne Amy Lachapelle.

« J’ai commencé cette passion en 2008 et certains livres ont été coécrits, ce qui ne représente pas la même charge de travail et augmente le nombre de romans publiés. Mais je me sens fière de voir mon nom sur 30 livres », confie-t-elle.

Magie et frayeurs
Maléfice fait partie de la collection Zone Frousse. «On l’a mise en place il y a quelques années. Jeune, j’aimais lire les Frissons et les Chair de poule, mais il n’y avait pas d’équivalent au Québec. Chacun des livres a son histoire et ses personnages et ne se suivent pas. Les jeunes peuvent avoir toute la collection, mais les lire dans l’ordre qu’ils veulent, signale Amy Lachapelle.

« Pour Maléfice, j’ai été inspirée par mon ami magicien, père de deux filles. Dans le livre, on retrouve les jumeaux Maximilien et Lauralie, excités à l’idée d’aller passer du temps chez leur papa. Il a acheté un livre de magie et les problèmes vont s’enchaîner. Il s’agit d’une histoire rocambolesque et effrayante, indique l’auteure.

« Le roman s’adresse aux 8 à 12 ans afin de leur offrir une première incursion dans l’univers de l’horreur et du suspense.

Cette collection vise à aller chercher les lecteurs masculins, mais elle plaît aux filles aussi », fait-elle remarquer.

Invitée au Salon du livre
Amy Lachapelle fait partie des auteurs invités au Salon du livre de l’Abitibi-
Témiscamingue, dans un mois à Ville-Marie. « Être invitée dans ma région me rend fière. Je n’ai pas souvent la chance d’aller à pied à cet événement, seulement une fois aux cinq ans puisqu’il se promène, rigole-t-elle. C’est plaisant de rencontrer les gens que je connais et j’ai hâte de faire le tour des écoles avec mes livres. »

Un autre livre coécrit
Raf à la rescousse a été coécrit par Amy Lachapelle et son amie Nadine Descheneaux,
l’une des blogueuses des Z’imparfaites.
« On veut travailler ensemble depuis un bout et les astres étaient alignés cette année. Raf est une adolescente qui s’est donnée comme mission d’aider les autres. Elle prend leur journal intime et met des commentaires », raconte Amy.


LA FRONTIÈRE – 11 mai 2015
Lucie Charest

La prolifique auteure témiscamienne, Amy Lachapelle, vient de recevoir tout un honneur. Les jeunes des quatre provinces maritimes ont décerné le prix Hackmatack à son roman «Toxique».

«Ce qui me touche le plus, a confié Amy Lachapelle à son retour au Témiscamingue, c’est que ce sont des jeunes lecteurs qui m’ont attribué ce prix. C’est d’abord pour eux qu’on écrit. Aussi, ils doivent lire un minimum de cinq des livres finalistes pour pouvoir exercer leur droit de vote.» 

LA REVUE – 29 octobre 2014
Marie-Pier Lécuyer

Aux deux tiers du chemin
On peut sentir au bout du fil le sourire contagieux de l’auteure Amy Lachapelle, Témiscamienne d’originne, Gatinoise d’adoption pendant quelques années, lorsqu’elle nous parle du deuxième tome de la trilogie Entre sœurs, à mi-chemin entre la fiction et la réalité.

Le premier tome de la trilogie s’était penché sur l’histoire d’Alexane, la benjamine de la famille. Le deuxième roman plongera les jeunes lecteurs dans la peau de Maïka, cette sœur qui se retrouve à être la cadette de la famille.

Le lecteur suivra donc les aventures de l’adolescente, qui vit une rupture amoureuse. Ses sœurs tenteront de l’aider du mieux qu’elles peuvent. Elle devra aussi, à la demande de sa mère, se trouver un emploi étudiant. D’un autre côté, ses résultats scolaires diminueront.

CFID 103,7 – Chronique littéraire 9 février 2013
Amélie Boivin-Handfield
« Un beau roman, très touchant. […] C’est un ouvrage qu’on devrait faire lire aux étudiants au secondaire pour les faire réfléchir. »

Pour écouter la chronique :
http://www.radio-acton.com/index.php/emissions/fin-de-semaine/samedi-de-flaner

JOURNAL DE QUÉBEC – 19 janvier 2013

Marie-France Bornais

La romancière Amy Lachapelle, auteure de la série jeunesse à succès Le monde de Khelia, aborde dans Une fois de trop un sujet plus grave concernant les adolescents et les jeunes adultes : l’alcool au volant.

L’histoire-choc de Camelia et de ses amis, qui sont en première année du cégep, ne laisse pas les lecteurs indifférents. Cette joyeuse bande d’amis, comme bien des jeunes, prend goût à cette nouvelle liberté avec une soif d’expériences et d’aventures. Ils se sentent invincibles et s’imaginent qu’une soirée arrosée restera sans conséquence.

 

JOURNAL DE MONTRÉAL – 30 décembre 2012
Anne-Marie Lobbe
Un roman percutant, une histoire bouleversante qui se rapproche malheureusement trop de la réalité… En cette période du temps des Fêtes, nombreux sont les déplacements et les occasions de fêter en prenant un verre ou deux se multiplient aussi… Cette histoire tragiquement bien écrite par l’auteure Amy Lachapelle vise à sensibiliser les jeunes à l’alcool au volant. Car, depuis l’accident d’auto que Camélia, 17 ans, et quatre de ses amis ont eu, plus rien n’est pareil. Ils ont eu tort de croire que ce genre d’événements n’arrivait qu’aux autres… Et quelle idée de génie de l’auteure que d’avoir gardé pour la toute fin la description de la scène de l’accident! Une fois de trop est un roman qui ne laissera personne indifférent.

L’INDICE BOHÉMIEN – décembre 2012 – janvier 2013
Par Dominique Roy

Un défi pour Amy Lacahpelle
Elle n’est plus une étrangère dans le paysage littéraire québécois. En cinq ans, Amy Lachapelle, originaire du Témiscamingue, compte déjà une vingtaine de publications à sa très jeune carrière. En plus d’être directrice littéraire aux Éditions Z’ailées, elle trouvele temps d’écrire pour son public, les adolescents. Le monde de Khelia, série de huit tomes, lui a permis de se forger une crédibilité dans le monde très sélect des écrivains. Poursuivant sur sa lancée déjà bien amorcée, elle a publié quelques récits d’épouvante pour la collection Zone Frousse, en plus de collaborer à a série Ping-Pong, romans écrits sous forme de textos.

Une nouvelle parution
Le 8 novembre dernier, elle lançait Une fois de trop. L’auteure, qui ne dit jamais non aux nouveaux défis, est sorti des sentiers battus, de sa zone de confort, pour publier une histoire totalement différente de ce qu’elle avait écrit auparavant. Pourquoi? « Parce que j’avais le goût de raconter une histoire qui touche les gens, qui fait réfléchir, qui sensibilise. J’aitoujours écrit des trucs plus »divertissants » pour les plus jeunes. Je voulais écrire une histoire dont les personnages étaient des gens normaux, sans histoire, afin que le lecteur puisse d’identifier à eux », confie-t-elle.

JOURNAL LA FRONTIÈRE – 14 novembre 2012
Par Lucie Charest

Amy Lachapelle sort l’alcool au volant des faits divers

Les livres d’Amy Lachapelle se lisent d’un trait. Avec plus de 30 000 exemplaires vendus depuis 2008 chez 8 à 13 ans, elle vient de faire le saut chez 13 ans et plus. Une fois de trop, romans sur l’alcool au volant, tombe pile comme une tonne de briques.

Amy Lachapelle sait comment s’y prendre. Sa série « Khelia » en a abondamment fait foi. Dès les premières pages de Une fois de trop, le lecteur ressent la liberté du premier soir en appartement. Il ressent également la dualité entre cette soif de liberté et son jeune sens des responsabilités.

JOURNAL LE REFLET – 7 novembre 2012
Par Francis Prud’homme

Ça n’arrive pas qu’aux autres
L’auteure jeunesse à succès, Amy Lachapelle, lançait son tout nouveau roman, Une fois de trop, à l’occasion du Salon du livre de Rimouski. Le livre sera disponible en librairie dès le 8 novembre

Pour ce nouveau livre, madame Lachapelle, voulais sortir de sa zone de confort en écrivant une histoire plus sombre, destinée aux adolescents plutôt qu’aux enfants qui forment son public cible habituel.

JOURNAL LE REFLET– 25 juillet 2012

Par Francis Prud’homme

Amy Lachapelle ajoute un nouveau roman à son palmarès

L’auteur témiscamienne Amy Lachapelle vient de terminer son vingtième livre, et ce, en seulement cinq ans. Ce nouveau roman s’intitule Une fois de trop et traitera du délicat sujet de l’alcool au volant, sujet qui concerne tout le monde de près ou de loin.

JOURNAL LA FRONTIÈRE – juillet 2012
Par Marie-Hélène Paquin

Pour son tout dernier roman, Une fois de trop, l’auteure témiscamienne Amy Lachapelle s’est attaquée à un sujet chaud, celui de l’alcool au volant chez les jeunes. Par unefiction, elle traite d’un sujet bien présent chez lesadolescents.

Amy Lachapelle ne saurait dire d’où est venue l’idée de traiter de cet épineux sujet. «Je me suis levée un matin et je me suis dit, tiens, je viens de trouver un sujet, a-t-elle avoué. J’avais entamé un autre projet mais je l’ai mis de côté pour faire celui-là toute de suite.»

JOURNAL LE REFLET – 16 novembre 2011
Par Catherine Drolet-Marchand

Il s’agit de la deuxième vague de la série de mini-romans Ping-Pong, la première ayant été lancée au printemps dernier. L’intérêt des jeunes pour ces petits livres mettant en vedette des personnages qui clavardent (ou qui s’envoient des textos) est grandissant.

Ce concept original est né d’un flash que les auteurs Amy Lachapelle et Richard Petit ont eu, alors qu’ils cherchaient un moyen efficace de rejoindre les jeunes. « On s’est demandé ce qu’ils aimaient, ce qu’ilfaisaient tout le temps… Rapidement on a associé les jeunes à l’univers du cellulaire », affirme Amy Lachapelle, co-auteure.

Les trois livres nouveaux nés, Viva el vacances!, Stars en poche et Textos terreur, mettent en contexte toujours les mêmes personnages, soit Max, Bling, Gunzo et Tally. Toutefois, les univers changent d’un livre à l’autre. Par exemple, Textos terreur raconte l’histoire de ces quatre amis maintenant trop vieux pour courir l’Halloween. Ils décident donc d’aller visiter un vieux manoir abandonné. Le lecteur prend donc connaissance de l’histoire via les textos que les personnages s’envoient.